Pardon, mais depuis quand on doit jouer aux devinettes avec notre peau ? Entre les taches qui apparaissent, celles qui s’estompent, et celles qui font leur come-back à chaque été, on a fini par perdre le fil. Mélasma, hyperpigmentation post-inflammatoire, taches solaires… Ce n’est pas la même chose, et ça change tout au niveau traitement.
Est-ce qu’on peut vraiment faire la différence sans avoir fait médecine ? On a mené l’enquête pour vous (et accessoirement pour nous, parce qu’on était dans le même flou artistique).
Mélasma et hyperpigmentation : quelle est la différence ?
Alors là, attention révélation qui va vous retourner le cerveau : le mélasma EST une hyperpigmentation, mais toutes les hyperpigmentations ne sont PAS du mélasma. C’est comme dire que tous les carrés sont des rectangles, mais que tous les rectangles ne sont pas des carrés. Merci les maths, on avait oublié que ça pouvait servir en beauté.
Concrètement ? L’hyperpigmentation, c’est juste le terme savant pour dire « trop de pigment ». Point. Mais derrière ce mot-valise se cachent plusieurs coupables très différents.
Les 3 types d’hyperpigmentation les plus fréquents
Le mélasma : caractéristiques et causes
Le mélasma débarque comme ça, sans prévenir, sans raison apparente. C’est le bad boy de la pigmentation : il fait ce qu’il veut, quand il veut. Reconnaissable à ses taches plates, parfaitement symétriques (oui, il a un côté perfectionniste agaçant), qui s’installent tranquillement sur le front, les joues ou au-dessus de la lèvre.
Particularité ? Il ne gratte pas, ne brûle pas, ne fait rien d’autre que… exister. Et nous agacer au passage.
> Fait amusant : les fluctuations hormonales, surtout celles qui se produisent chez la femme enceinte, peuvent déclencher ou aggraver le mélasma, mais pas que. Contraception, SPM, ménopause… Nos hormones semblent avoir un faible pour ce genre de blagues.
L’hyperpigmentation post-inflammatoire : causes et symptômes
Celle-là, c’est la peau qui fait sa drama queen. Chaque bouton, chaque griffure, chaque inflammation devient un souvenir indélébile. Sur les peaux qui bronzent facilement, c’est systématique : inflammation = tache garantie pour les mois à venir.
L’acné et l’eczéma sont les grands champions dans cette catégorie. Votre peau garde littéralement la rancune.
Les taches solaires : hyperpigmentation liée à l’exposition UV
Les taches solaires, elles, c’est le résultat de nos étés insouciants. Elles s’accumulent année après année, comme une épargne involontaire de nos expositions au soleil. Pas très sexy comme placement, on vous l’accorde.
Comment reconnaître le mélasma et l’hyperpigmentation ?
Le test du miroir symétrique : Le mélasma joue toujours la carte de la symétrie parfaite. Si vos taches se répondent d’une joue à l’autre, c’est probablement lui.
Le test de la saison : Le mélasma a ses petites habitudes : il s’aggrave l’été, s’améliore l’hiver. C’est le seul type de pigmentation qui suit le calendrier avec autant de régularité.
Le test de l’historique : Des boutons ou de l’eczéma avant les taches ? C’est de l’hyperpigmentation post-inflammatoire. Des taches qui sont apparues avec l’âge et l’exposition solaire ? Team taches solaires.
Le test hormonal : Pilule, grossesse, traitement hormonal et apparition de taches symétriques ? Bingo, c’est du mélasma.
Traitements efficaces selon le type d’hyperpigmentation
1. Traitement de l’hyperpigmentation solaire
La base non-négociable : SPF 30 minimum, tous les jours, même quand il pleut. On ne rigole plus avec ça.
Le trio gagnant topique : Vitamine C le matin (pour protéger), rétinol le soir (pour réparer), et des peelings doux à base d’acides glycolique ou lactique.
L’artillerie lourde : IPL et lasers spécifiques (755 nm ou 1064 nm) pour les taches récalcitrantes. Mais attention, on ne fait pas ça n’importe où ni n’importe comment.
2. Traitement de l’hyperpigmentation post-inflammatoire
Règle d’or : On traite d’abord la cause (bye bye boutons et irritations) avant de s’attaquer aux traces.
La routine qui sauve : Acide azélaïque, vitamine C, et rétinol en douceur. Les peaux sensibles, on y va molo.
Version pro : Peelings sous contrôle médical et lasers ultra-doux (microseconde, picoseconde). Mais vraiment, uniquement par un expert qui connaît votre type de peau.
3. Comment traiter le mélasma efficacement ?
Pardon, mais le mélasma, c’est le boss final du jeu vidéo pigmentation. Il faut jouer finement.
L’indispensable : Écran solaire teinté SPF 30+ (pour la lumière visible aussi), tous les jours, sans exception. Et on insiste sur le « teinté » parce que la lumière bleue de nos écrans peut l’aggraver.
La contraception : Si vous êtes sous pilule œstrogénique et que votre mélasma est apparu en même temps, une discussion avec votre gynéco s’impose.
Le cocktail topique : Acide glycolique, vitamine C, rétinol, acide azélaïque, niacinamide… Et sur prescription, l’hydroquinone (mais toujours sous contrôle dermatologique).
Le secret weapon : L’acide tranexamique oral pour les cas sévères. Mais là, c’est du sérieux, suivi médical obligatoire.
Les lasers : Possible, mais avec beaucoup de prudence. Mal fait, ça peut aggraver le mélasma. On ne fait confiance qu’aux vrais experts.
❤️ Nos Coups de Cœur ❤️
Comment les utiliser ?
- Matin
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Nettoyer la peau avec un nettoyant doux.
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Appliquer le Sérum Éclat Anti-Taches Vinoperfect Caudalie sur l’ensemble du visage.
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Appliquer la Crème TensioLift Seasonly pour hydrater, lisser et renforcer l’action anti-taches.
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Terminer par une protection solaire SPF 50+, indispensable tous les jours (le soleil aggrave le mélasma et réduit l’efficacité des soins).
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- Soir
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Nettoyer la peau pour retirer maquillage et pollution.
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Appliquer le même sérum que le matin ou alterner avec le LiftActiv B3 Sérum Vichy pour booster l’action anti-taches et anti-âge.
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Appliquer le Baume TensioLift Seasonly pour une action régénérante et réparatrice pendant la nuit.
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> Soyez assidue : les premiers résultats apparaissent en général après 4 à 8 semaines d’utilisation régulière.
Peut-on avoir plusieurs types d’hyperpigmentation ?
Voici le truc que personne ne vous dit : vous pouvez avoir plusieurs types d’hyperpigmentation en même temps. Eh oui, votre peau peut être multi-talents dans l’embêtement.
Du mélasma hormonal + des taches solaires + quelques traces d’anciens boutons ? C’est le combo parfait pour nous rendre folles. Mais c’est pour ça qu’il faut adapter le traitement à chaque zone.
Le Mot de la Fin… On ne va pas se mentir, c’est compliqué
Le mélasma, c’est de l’hyperpigmentation VIP hormonale et cyclique qui fait ses caprices selon les saisons. L’hyperpigmentation post-inflammatoire, elle, c’est votre peau rancunière qui garde tout en mémoire, chaque bouton devient un souvenir indélébile. Quant à l’hyperpigmentation solaire, c’est l’accumulation de tous nos étés insouciants qui finit par se voir.
Chaque type a son traitement spécifique, et surprise, on peut en avoir plusieurs à la fois sur le même visage. La protection solaire reste la base absolue pour tous les types, mais ensuite il faut adapter sa stratégie. En cas de doute sur ce que vous avez exactement, direction un dermatologue qui saura faire le tri et vous éviter de perdre du temps avec les mauvais produits.
Alors, prêtes à jouer les détectives de votre propre peau ? On parie que vous allez commencer à observer vos taches différemment. Et c’est exactement le but du jeu !
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